Commentaire de Annie
sur Nantes et Lorgues : le décor d'un roman noir
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Je ne crois pas qu’il s’agisse d’une fascination morbide, surtout lorsqu’on connaît les gens concernés, mais même lorsqu’on ne les connaît pas. Finalement cela renvoit à l’image d’une famille sans problème, du moins en apparence, semblable à la sienne, avec tous ses petits secrets et ses non-dits qui finissent parfois par se retrouver en première page d’un journal. La question du vernis social est importante, parce qu’il empêche bien souvent de passer à l’acte pour des raisons inavouables (qu’en penseront les voisins), et de traverser une mauvaise passe. S’intéresser à ce genre de faits divers, c’est aussi une autre façon de s’intéresser à soi.
Derniers commentaires
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28/04 09:21 - NOUVEL HERMES
« S’intéresser à ce genre de faits divers, c’est aussi une autre façon de (...)
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27/04 20:35 - Annie
Je ne crois pas qu’il s’agisse d’une fascination morbide, surtout (...)
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27/04 19:07 - Gasty
Ou alors, il est tout aussi morbide d’assister à des obsceques.
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27/04 19:04 - Gasty
il n’y a pas de curiosité morbide, seulement une conscience que la vie tient à peu de (...)
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27/04 17:08 - Lefumiste
« une info »noble« peut être du déchet » c’est tout à fait ça... mais je ne pense pas (...)
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27/04 17:00 - Lefumiste
Ok Hermes je n’avais pas vraiment saisi le fond de votre article que vous éclairez (...)
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