Commentaire de Surya
sur J'ai dix ans, et je vis à Pripyat
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Non, ça n’a rien de bête, Annie, on s’attache de façon très émotionnelle à un animal. J’imagine la réaction des gens qui ont dû abandonner le leur, lorsqu’ils ont compris ce qui allait réellement se passer alors qu’ils croyaient le retrouver trois jours après. C’est sûr que comparé au reste, ça semble dérisoire, mais c’est probablement un petit traumatisme et une blessure de plus qui s’ajoute au reste, et sans doute on y pense ensuite pendant un bon bout de temps.
Derniers commentaires
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29/04 18:33 - Surya
Bonjour Saphir, J’ai essayé dans le texte de rendre les personnages les moins fictifs (...)
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29/04 08:43 - saphir
bonjour, je me suis inscrit sur agora à la suite de cet article afin d’y laisser un (...)
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28/04 12:35 - Akwa
@geronimo : la pollution générée par les explosions nucléaires est très différente de celle (...)
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28/04 09:40 - Surya
Bonjour Taverne, et merci pour ce beau commentaire, exprimé avec toute la sensibilité du Poète (...)
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28/04 09:36 - Surya
Bonjour Geronimo87, Merci pour ces liens qui dénoncent l’insupportable. En Polynésie, (...)
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28/04 09:15 - Taverne
Beau texte Surya J’ai dix ans J’habite à Pripyat, j’ai dix ans Laissez-moi (...)
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