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Commentaire de Emile Red

sur Douce France


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Emile Red Emile Red 28 avril 2011 17:06

Invective et insulte ? Diable, je me relis et ne vois rien...

Toujours dans le fantasme. L’intolérance c’est votre jeu, ne renversez pas les rôles.

Ce que je vous dis est bien que si vous ne vous sentez pas à l’aise avec notre contrat social, rien ne vous oblige à vous y soumettre, vous êtes un homme libre et la constitution prévoit pour vous et pour les migrants la libre circulation... serait-ce ce que vous appelez de l’intolérance ? Vaste blague de mots qui n’auraient plus de sens commun.

Le seul qui parle de goulag ici, c’est vous, à moins que la planète entière excepté notre petit territoire gaulois soit un goulag sous la botte des méchants communistes et d’une horde de barbares trucidaires. D’ailleurs le mot « goulag » n’est pas innocent, et vous me reprochez une idéologie imaginaire, une fois de plus faites donc votre introspection.

D’autre part, je n’ai jamais eu l’intention de créer un monde quel qu’il soit, j’en aurai les capacités que je n’en aurait aucune envie et malheureusement pour vous je ne prêche aucune fraternité universelle, ni aucune idéologie, vous devriez apprendre à lire, je dis tout le contraire, alors votre incohérence vous savez où la mettre.
D’ailleurs le monde je le regarde parfaitement bien et je vois que malgré les rodomontades, les coups de gueule, les diatribes et les offuscations, rien de rien n’empêche les migrations, vous pouvez tirer tous les plans sur la comète, sortir l’armée, la police, les hordes barbares trucidaires et les derniers communistes, les miséreux franchiront ad eternam les frontières quand ils sentiront l’herbe plus vertes ailleurs.

Avant d’essayer de donner des leçons, regardez l’histoire, regardez autour de vous, regardez partout et citez moi un seul pays, une seule région, une seule île ou la nation serait parfaitement pure, où la terre n’aurait été foulée par aucun autre peuple, où le sang n’aurait jamais été mêlé par amour ou par haine. Ainsi aucun besoin de faire le bonheur de quiconque, la nature est suffisante pour faire son œuvre et vos récriminations tombent piteusement à plat.

Mieux, vous voudriez que je réfléchisse, étrange donc que vous me compariez à la mère Parisot qui, elle, c’est bien connu, ne réfléchit pas... votre raisonnement sonne bancal et je vais vous dire, si la mère Parisot avait raison, si Dupont avait raison, si le pape avait raison, je n’aurait aucun scrupule à les approuver, l’amour propre est une chose, la triste réalité en est une autre.

Maintenant, que je souhaite vivre avec des gens conviviaux, sympas, pas casse-bonbon, et affables me semble préférable à voisiner avec des éternels vaincus, renacleurs et gueulards qui sont dans la totale incapacité d’avancer ou de ce projeter.

Si c’est cela faire le bonheur d’autrui, je vous le concède volontiers, juste que je n’y suis pour rien, que je n’y peux rien et que je n’ai aucune prétention à ce que quelqu’un compte sur moi.

Voilà ce qu’est la différence entre conscience et inconséquence...


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