Extrait d’un article sur le livre de Franz Broswimmer, chercheur étasunien peu connu en France.
« Dans toutes les civilisations disparues (depuis 5 000 ans avant JC), c’est une organisation qui n’ a pas su - ni voulu - réorienter ses modes de production, de reproduction, et de consommation. C’est une élite qui n’ pas accepté de renoncer à son statut, à ses privilèges, maintenant sa cupidité, sa goinfrerie et sa gabegie ostentatoires, son penchant compulsif pour la guerre, son désir de s’approprier une part croissante du surplus - et pire que tout : son aveuglement. »
Notre civilisation occidentale décline et est appelée à disparaître pour les mêmes raisons que la disparition de la civilisation Sumérienne, Grèque, Romaine, etc... et beaucoup d’autres à travers l’ histoire et les 5 continents.
Que les élites le veuillent ou non, les activités humaines ont un impact sur le climat, celui-ci a un impact sur les ressources alimentaires, celles ci déterminant la survie de l’ espèce humaine.
Nous en sommes là. Entre les catastrophes dites naturelles : tsunamis, tremblements de terre, tempêtes, inondations, typhons, volcans, sècheresse et les catastrophes humaines : guerres, catastrophes nucléaires, pollutions (air, terre, eaux),maladies, les élites mondiales vivent très bien. Mieux, à aucun moment ces derniers n’ envisagent de changer quoi que ce soit au système économique, monétaire et financier. La terre et ses richesses leur appartient, les peuples sont soumis ou on les soumet, la vie est belle pour elles : Le prince et la princesse se marient, à Londres on prépare activement les jeux olympiques,au Brésil la coupe du monde de foot, en Europe la succession de monsieur Trichet à la banque européenne, aux U S A la succession de DSK au FMI, Goldman Sachs se refait une santé et notre Petit bras va bientôt être à nouveau papa.