L’Amérique danse et fête la disparition de l’Homme « Most Wanted » par le FBI.
B. OBAMA a fait hier une déclaration certifiant qu’il était bien mort et qu’il ne reviendra plus.
La première version de l’intervention fait état d’une villa luxueuse, d’un échange de tir avec un Ben Laden armé prenant son épouse comme bouclier humain.
La deuxième version fait état d’un Ben Laden désarmé et de son épouse se jetant sur la trajectoire des balles.
La toisième version fait état d’un garde qui a ouvert le feu....
Pas de corps pour cause de nourriture pour requins.
C’est un peu gros, mais ça va passer tout seul dans l’opinion.
Le seul problème qui a déjà été soulevé par des médias non-alignés est qu’Obama a dit vrai, sauf qu’il n’est pas mort la semaine dernière mais il y a dix ans, le 13 décembre 2001.
Déjà recherché avant le world trade center, des tireurs français l’ont eu dans la mire d’un FRF-1 en 2000. Après demande d’instruction auprès du commandement lui même en liaison avec l’Elysée et Washington, l’ordre formel de ne pas faire feu a été donné.
Pour revenir à un excellent article d’un journaliste anglais qui titrait « Al Quaïda existe il ? » on se pose beaucoup de questions sur la responsabilité immédiate de tous les sales coups de la planète qu’endosse toujours cette organisation qui est sur-armée par on ne sait qui avec on ne sait quels capitaux.
Ils achètent bien des armes avec de l’argent. Les flux financiers laissent des traces et on identifie facilement le pays de provenance d’une arme ou d’un explosif.
Ben Laden est mort à l’Hopital Américain de DUBAI. Il est possible que son corps ait été conservé pour monter une opération le moment venu.
Opération permettant au titulaire du prix Nobel de la Paix (on cherche encore pourquoi) de se voir ré-élire dans un fauteuil.
Les journalistes ont toujours été les jouets des services de renseignements, on leur donne à boire et à manger ce qu’on veux....
Quand a la menace de représaille d’Al Quaïda elle va permettre de monter quelques opérations de déstabilisations sous parfaite couverture.
