« N’importe quoi. Chirac a marqué une nouvelle étape dans le massacre économique et social des Français. Et ça ne fera que s’aggraver, car avec le »marché mondial de la main d’oeuvre« , les Français n’ont quasiment plus le droit à l’existence... »
La désertification industrielle de la France ne doit son émergence qu’à un syndicalisme abusif et totalement irresponsable suivi et appuyé par les gouvernements successifs de « dieu » alias « François Mitterrand » , la dernière étape en ayant été la catastrophique Loi sur les 35 heures de Martine Aubry , preuve que la bêtise n’a rien a voir avec la couleur des cheveux !
Jacques Chirac à certainement été le meilleur Président que la France n’ait eu depuis longtemps , certes il a commis quelques maladresses que d’autres, y compris dans son parti, se sont empressé d’utiliser contre lui. Il n’empêche que quoi qu’en disent certains, son bilan est positif à plus d’un titre et ni Sarkolène, ni Ségozy n’ont de leçons à lui donner.
Sachons lui reconnaître qu’il a fait preuve, plus d’une fois de « bravitude » et arrêtons, s’il vous plait, l’« approximatiance » !
Pour aller plus avant dans le débat, plutôt que de tirer à boullets rouges sur untel ou untel, posons nous les vrais questions :
• La constitution de la 5e République (défendue par Jacques Chirac, je vous l’accorde) est-elle toujours bien adaptée à la gouvernance de la France ?
• Est-il normal de pouvoir cumuler des fonctions électives à gogo ?
• Est-il normal de pouvoir être responsable d’un parti politique, ministre et en même temps candidat à l’élection présidentielle (sans oublier, entre autres, une présidence du Conseil général des Hauts-de-Seine) ?
Il est urgent de mettre des barrières législatives à un carriérisme politique qui pourrit la France depuis bien trop longtemps, à défaut, ne nous plaignons pas que les débordements de nos élus n’aient pas de limites.
Pour résumer, il est temps de faire table rase du passé (pas de l’oublier !) et d’instaurer une 6e République qui puisse permettre de retrouver une sérénité politique et, in fine, une confiance en ceux qui détienne le pouvoir.
Le retour de cette confiance ne sera attesté que lorsque le taux d’abstention lors des élections, sera inférieur à 20%, au-dessus aucun élu ne peut prétendre à la légitimité de son mandat !