<< Soyons un minimum rationnels et faisons la part des choses entre loi,
morale et émotion. Ni l’aspect médical ni l’aversion émotionnelle ne
justifient la pénalisation d’une relation sexuelle et/ou affective entre
adultes consentants, quelles que soient les circonstances. Sans
contrainte pas de victime. Trouver l’inceste dégoûtant ou immoral n’a
aucune valeur juridique.>> toute l’ ambiguïté est là , de quel inceste parlez vous ? car y a t ’il plusieurs formes ?
L’inceste (du latin incestus : « impur ») désigne une relation sexuelle entre membres de la même famille et soumise à un interdit.
L’inceste en droit
De façon générale, le droit tend à distinguer l’inceste commis sur un mineur (la majorité légale, et non simplement sexuelle, est retenue en France) et l’inceste commis entre personnes majeures et consentantes.
Par ailleurs, il faut distinguer la criminalisation de l’inceste, c’est-à-dire son appréhension par le droit pénal, et les règles de droit civil régissant le mariage. Nombre de pays s’abstiennent ainsi de criminaliser l’inceste entre personnes majeures et consentantes tout en interdisant le mariage entre proches, par parenté ou filiation. En revanche, l’inceste sur mineur est le plus souvent considéré comme une forme d’agression sexuelle ou, plus spécifiquement, d’abus sexuel sur mineur.
Voilà la vrais question ? et je maintiens que vos propos sont ambigus et prône l’amoral car vous banalisez un fait qui ne devrait pas être. Le mythe d Œdipe est éclairant du pourquoi de l’interdit de l’inceste.