« C’est humiliant pour notre pays ». « Les Français passent pour des obsédés. »
Eh bien que les Français arrêtent de protéger nationalement l’immonde droit absolu de la bite arbitraire, quand celui-ci vient des notables.
En France les femmes de chambre ne sont que des merdes face à un grand patron. Aux Etats-Unis, elles se sentent la force de gueuler, parce-qu’elles ont une chance d’être entendues. Ca change tout.
En France, dès le collège, les jeunes filles supportent en cours d’histoire de voir le sourire du prof aux lèvres qui relaie la sémantique immonde de « droit de cuissage ». Aucun prof français ne leur a jamais dit qu’il s’agissait tout simplement d’un droit de VIOL d’un notable sur une subordonnée sociale.
Il était évident depuis longtemps que ce sale type (DSK) ne s’attaque qu’aux plus faibles (femmes socialement subordonnées, peuple grec, et autres agonisant dans le monde). Pauvre impuissant...
Je ne pleurerais pas de le voir un jour accrocher à un crochet de boucher, mais la lâcheté virulente de l’effet de meutes actuel qui profite de sa faiblesse pour l’achever, m’angoisse tout autant. Elle nous ramène tout droit à notre pire cauchemar : aux années 40, aux femmes tondues. Aux pires lâches, encore plus dangereux que ce qu’ils dénoncent.