Je crois que vous n’entendez pas à la fois ce que l’article et mon commentaire veule dire.
Réaction épidermique que votre position, oui car vous vous appuyez sur un grand principe (la peur du gendarme) pour mettre au panier des choses différentes. Ce ne sera jamais la peur du gendarme seule qui fera respecter une règle, comme vous le faite si bien remarquer à propos des cités par exemple. C’est pourquoi je tiens à rappeler qu’avant toute chose il faut assurer l’acceptabilité de la règle à la fois par sa cohérence et l’éducation routière.
Pour être plus clair, mon commentaire était surtout de rappeler le but d’un CSA vitesse : faire baisser la vitesse en deça de la limite légale sur un tronçon accidentogene identifié. Si ce n’était que de prendre des infractionniste, pas besoin de CS automatique. Le banal radar mobile suffit, et il n’a jamais été identifié.
Techniquement l’effet du CSA est donc le suivant : l’automobiliste sait qu’il va être contrôlé et pris si il est en infraction. Un très grande majorité s’assure donc de respecter la limitation et la vitesse diminue. C’est donc bien le fait d’être informé qui conduit à la diminution de vitesse qui est le but recherché.
Il est donc clair que la suppression de l’information de la position des CSA FIXE est un changement de but, le nouveau but étant d’attraper un maximum d’infractionnistes. Ce qui rappelons le, sur des sites dangereux identifié n’est pas efficace immédiatement en terme de sécurité routière.
Je crois par là avoir fait la démonstration que la politique suivi n’est pas rationnelle. Elle se situe bien sur un plan moral et émotionnel. Effectivement il est inacceptable qu’il y ai des victimes du fait du non respect de certaines règles et à ce titre on peut réagir en punissant plus fortement. Mais cela ne reste qu’une réaction et pas une politique