Merci Bodhi pour votre commentaire du 18 à 13 h
42 :
»C’est
ni plus ni moins une démarche scientifique que je vous propose :
on
prend un groupe d’individu, on observe leur comportement à chacune de leur
sortie, on observe la répétition de ces événements. Et enfin on en déduit
une probabilité que cet événement ait lieu au cours d’une sortie.
La probabilité est forte, admettez le. »
Enfin une démonstration SCIENTIFIQUE de la malfaisance de
»groupes d’individus" valable dans tous les cas de figure pour le
présent et pour l’avenir !
LA SCIENCE me
fait comprendre enfin le bon sens de nombreux amis de gauche que je ne
comprenais plus depuis quelques années. Je les croyais en pleine dérive
intellectuelle quand ils me voyaient devenu "xénophobe et raciste et nazi
souhaitant le retour des heures les plus sombres de notre histoire" chaque
fois que j’exprimais un avis différent du leur sur certains sujets sensibles.
Je comprends enfin, aussi, tous ces »nouveaux
journalistes« (me rappelant les »nouveaux philosophes" au="au" monde="monde" ou="ou" nouvel="nouvel" obs="obs" france="france" nous="nous" font="font" la="la" moi="moi" et="et" mes="mes" sur="sur" les="les" leur="leur" ils="ils">notre comportement » puis décrivent nos épouvantables
sentiments dans leurs articles, avec la scientifique certitude qu’existe une
forte probabilité pour
que ce soit l’exacte vérité.
Ouvrez les yeux, Catherine Ségurane, et
convenez-en comme moi désormais : compte tenu de ce que nous pensons et avons
exprimé ici ou là, quand dans la rue nous montrons à un compagnon de marche un
obstacle devant lui, et que nous avons pour cela le bras et le doigt tendus
vers le sol, nous faisons le salut nazi.