Salut,
Les journalistes oublient bien souvent que c’est un homme public et privé que nous élisons. Dès lors il est normal d’avoir des assurances sur le comportement privé de ceux-ci.
Cela ne veut pas dire fouiller les poubelles, mais il y a une marge entre les attitudes border-line d’un DSK ou celle d’un Albin Chalondon lui aussi grand amateur de femmes et d’argent.
J’avais été choqué, lorsque j’ai appris que Mitterand avait caché sa fille illégitime et, encore plus, lorsque j’ai su que des tas de journalistes (pour ne pas dire toute la profession) avaient couverts ce fait. Nous étions en droit de savoir cela d’autant plus qu’une partie de nos impôts servait à protéger l’héritière.
J’aurai compris si cela avait été divilgué par lui-même sachant que les hommes sont faillibles. Mais le manque d’honnêteté contre son peuple est pour le moins navrant.
On ne peut pas élire des saints c’est une évidence, mais entre ceux qui ont des défauts acceptables et d’autres, qui ont des tares profondes, il y a il me semble une prime à accorder aux premiers cités.
Mais là ou le monde politique est étrange mais pas surprenant réside dans le fait que bon nombre d’individus de premier plan ont des faiblesses plus ou moins lourdes. D’ici à ce que cela serve dans tout type de négociation...
Car comment expliquer que des syndicalistes avalent des couleuvres, comment des politiques prennent des décisions contre nature ou leurs intérêts et, plus grave, contre le peuple