Communiqué de Gilbert PEREA,
Responsable du Front National à La Seyne-sur-Mer
ça c’est dans votre blog..$
ah y’a ça déjà
ça :
http://www.nationspresse.info/?p=100447
et puis ça :
http://nats.chez.com/fevrier.htm
On vient d’apprendre que Gilbert Péréa,
directeur du « Vallon du soleil » (cette super-colo lepéniste pour petits Toulonnais), collectionnait, du temps où il dirigeait une autre association en région parisienne, en 1994, les procès-verbaux des services vétérinaires, de l’inspection du Travail et de Jeunesse et Sports pour de multiples infractions relatives aux « mauvaises conditions d’hygiène dans les dortoirs »ou à « l’absence de contrats de travail » de certains salariés. Ce n’est plus le « Vallon du soleil », c’est le pays des zones d’ombre.
et puis ça :
http://www.liberation.fr/societe/0109361011-le-chevallier-condamne-pour-emploi-fictif
Le jugement n’est pourtant pas une surprise, quoique Jean-Marie Le Chevallier ait cru bon de faire part de son « étonnement » : la plupart des protagonistes ont plus ou moins admis les faits. Christian Serretta, l’employé fictif, ancien élu municipal du PR passé au service des époux Le Chevallier (« J’ai adhéré au FN par reconnaissance du ventre »), avait indiqué à la barre qu’il « espérait un poste » après avoir réalisé quelques audits sensibles sur ses anciens amis pour le compte du nouveau maire.
Ce sera directeur général adjoint de Jeunesse toulonnaise (JT), association placée sous la tutelle de Mme Le Chevallier, adjointe à la jeunesse, qui avait éliminé ses anciens animateurs pour y placer des proches du FN.
Serretta a été condamné à huit mois avec sursis : ses tardives tentatives d’expliquer la consistance de son travail n’ont guère convaincu. Gilbert Péréa, directeur général de JT, avait clairement indiqué que « l’emploi fictif de M. Serretta [lui] a été imposé par M. Le Chevalier. » Il n’en voulait pas, mais il a cédé à « l’amicale pression » du maire. Là encore, huit mois avec sursis.