Commentaire de Georges Yang
sur Biffins de Belleville : l'innovation ou la misère
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A force de vouloir une ville propre, comme en Suisse on en oublie la dimension humaine. La biffe à Belleville ne pose qu’un seul problème, celui des voleurs à la tire,
Les biffins ne sont pas malhonnêtes pour la plupart, mais ils ne peuvent s’opposer aux voleurs par peur des représailles.
Le mieux serait de tolérer sans autoriser et d’infiltrer quelques flics en civils jamais les mêmes pour protéger les acheteurs et les passants de pickpockets comme devant les GL et le Printemps. Mais les habitants sont pauvres aussi et n’intéressent que peu les pouvoirs publics.
Derniers commentaires
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25/05 23:12 - quebre
@Wesson. La comparaison avec un vide-grenier est un peu abusive. Disons que comme vous le (...)
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24/05 13:09 - platon613
Voici la misère... La Grèce exhorte le FMI à régler le prochain paiement de son aide. (...)
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24/05 11:01 - platon613
Quelle est la différence entre la Grèce et les États-Unis ? En fait, pas grand-chose... Le (...)
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24/05 11:01 - platon613
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23/05 22:07 - wesson
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23/05 20:49 - Annie
C’est drôle que l’on puisse appeler cela des « ventes sauvages ». En Angleterre, (...)
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