@faucon maltais
J’apprécie beaucoup vos analyses, même si je ne suis pas toujours d’accord avec vous sur les conclusions, mais c’est bien l’intérêt du débat, et c’est exactement dans le sens de votre article.
Il faut donc définir les modes d’application d’une société des droits de l’homme. Concrètement. Quelles actions seront permises dans une société fraternelle et quelles actions ne le seront pas. Quelles actions seront récompensées et lesquelles seront sanctionnées par les hommes dans une telle société.
Je dirais que l’écueil principal c’est la concentration pyramidale de pouvoir, vous pouvez mettre toutes les règles que vous souhaitez, si vous commencez à avoir un sentiment d’impunités, vous allez tricher parce que justement vous pouvez !
Et c’est pas les affaires politiques des 200 dernières années avec les financements troubles, les affaires de moeurs troubles qu’on va me démontrer le contraire.
Accumulation de pouvoir -> abus de pouvoir.
Donc avant de penser à des règles de vie communes qui seront toujours discutaillées entre les opinions extrêmes, il serait plus judicieux de penser comment organiser une société effective en divisant le pouvoir.
Pour les réseaux, il y a un exemple, c’est internet, aucun noeud du réseau n’a plus d’importance que les autres fonctionnellement, et tous les autres modèles de réseaux centralisés ont disparus, car saturant beaucoup plus rapidement et étaient moins résiliants.
Et pourtant ce modèle de réseau décentralisé est plus efficace, ça casse le principe de la pensée unique de devoir passer par un « leader ».