Deux liens renvoyant à des études bidon, menées par un seul individu, et, surtout,
ne prenant en compte que les coûts, sans calculer les RAPPORTS des immigrés ; cotisations sociales, consommation, etc....
Et pas du tout confirmé par l’INSEE, dont le lien, ne relève qu’un seul point de son étude ; le suivant (je cite ton lien) :
L’étude fait apparaître que « les prestations sociales assurent 21% des revenus des immigrés, contre 5,1% pour les non-immigrés et 5,4% pour les immigrés qui viennent d’Europe. »
Ce qui, d’une part ne confirme en rien la pseudo étude de Gourevitch,
d’autre part est complété ici :
Les immigrés coûtent cher parce qu’ils reçoivent plus d’aides sociales :
FAUX - Il est vrai que les immigrés ont un taux de chômage plus élevé que la moyenne. Et ceux qui travaillent ont un salaire moins élevé que celui des natifs. Les allocations chômage versées aux immigrés sont donc plus importantes que les sommes cotisées par ces derniers. Mais l’économiste Lionel Ragot rappelle les immigrés sont majoritairement des actifs, entre 25 et 50 ans. Ils sont donc très nombreux à cotiser pour la retraite, alors qu’ils sont très peu à percevoir une pension. Par ailleurs, ils font peu valoir leur droit en matière de santé alors qu’ils y cotisent également. Or les dépenses sociales pour la santé et les retraites représentent des montants bien plus importants que les prestations liées au chômage en France. Au final, « la contribution aux budgets publics des immigrés est donc positive » et s’élève à 12 milliards d’euros. Soit 2.250 euros par personne immigrée, contre 1.500 euros pour les natifs
Donc, rien de sérieusement comparable au rapport des 30 parlementaires.
Try next time...