Bonjour Georges Yang
Vous avez raison Goerges Yang de pester contre toutes ces abonnées à la Lyonnaise des Eaux ou pire, au biberon d’eau minéralisé, coincé entre le parapluie et la laisse du chien. L’air de rien, le goulot qui dépasse du cabas, et c’est la messe est dite.
Ces soiffardes pathologiques qui boivent sans soif et à pas d’heures, des pochtronnes, qui ne se planquent même pas pour boire leur litron de blanc. « Un chateau la pompe » même pas millésimé.
Plus qu’une sale manie, un vice auquel s’adonnent publiquement, sans retenue les puisatières, au risque de donner un très mauvais exemple aux filles, des pisseuses déjà dans leurs langes, mais qui voudraient arrêter « la gazeuze » qui balonne pour goûter au jus de treille. L’eau ferreugineuse, NON. L’alcool, OUI ! Parole de chameau : rien ne se perd, tout se transforme, même l’eau bénite.
Par un hasard génétique, la nature fait parfois des miracles et, vous n’êtes pas obligés de me croire ! j’ai échapé à la malédiction aquatique, sans avoir fait un détour par Lourdes.
Déjà à la source, l’ eau divine, c’est pas franchement ma tasse de thé, je lui préfère et de loin, l’eau de vie. Quand, il y a de l’eau de vie, il ya de l’espoir.
Encore que : « ’il ne faut jamais dire fontaine je ne boirais jamais de ton eau », mais moi, j’y tremperai même pas mon fondement, il paraît qu’on peut attraper un rhume au cerveau.
Le rhum, je suis pas contre, à condition de l’envoyer dans le gosier, à lui de faire le transport au cerveau.