la tache d’huile s’agrandis 15000 grecs devant le parlement ,début en France a la bastille et dans de nombreuses autres villes, le portugual etc le mouvement n’a pas de revendications politiques ni syndicales les jeunes expriment un ras le bol .Un tout petit rien une étincelle une bavure policière peu a tout moment enflammé les mouvements et en faire une révolution .le grand ras le bol des injustices de l’Europe les jeunes ont compris que tout cela est organisé par les banksters pour faire passer les plans d’austérité dans tous les pays de la zone Euro pour l’instant sont visé l’Irlande, la Grèce, le Portugal ,l’Espagne et bientôt la France, l’Italie ,la Belgique etc leur seul but est de nous SAIGNER pour qu’on courbe l’échine et qu’on les serve comme le vassal son seigneur plutôt mourir
en réponse a Gelone qui ne doit pas connaitre son histoire de France comme en Espagne les syndicats et autre partie politique n’ont pas grand chose a voir sur l’abolition de l’esclavage mais l’homme oui qui parle de syndicat ou de parti politique ici personne sauf vous pour tenter de crédibiliser vos pseudo analyses de pessimiste invétéré
L’abolition de l’esclavage en France c’est déroulé en plusieurs phases...
Il y eu en 1794, la première abolition. En octobre 1790, une rébellion
éclate dans la partie française de Saint-Domingue qui regroupe la
majorité des esclaves français, qui est aujourd’hui Haïti. L’Assemblée
nationale avait en août 1789 aboli les privilèges et proclamé l’égalité.
Mais les colons refusent d’appliquer aux esclaves le droit de vote que
le décret de l’Assemblée nationale du 28 mars 1790 accordait aux hommes
libres âgés de vingt cinq ans. Vincent Ogé et Jean-Baptiste Chavannes
prennent les armes contre les Blancs. Ils sont capturés, torturés par le
supplice de la roue et exécutés le 25 février 1791. Le 22 août 1791
éclate une grande insurrection de près de 50 000 esclaves qui, en dépit
de l’adoption par l’Assemblée nationale de la Déclaration des droits de
l’homme et du citoyen selon laquelle « les hommes naissent et demeurent
libres et égaux en droits », n’ont pas été libérés.
Un colon du nom de Louis-Pierre Dufay fait un discours devant la
convention. Il parle de l’oppression et l’humiliation des esclaves et
les affres de leur condition. Puis c’est au tour de Danton qui défend,
sous les applaudissements, l’extension au nouveau monde de « la liberté
universelle ». Puis la Convention décrète l’abolition de l’esclavage,
votant par acclamation le texte rédigé par Lacroix et donnant
satisfaction à Toussaint Louverture, le chef des esclaves noirs
insurgés.
Il faudra attendre le 1er décembre 1848 pour que l’abolition définitive soit prononcée à l’Assemblée nationale qui stipule que :
« Nulle terre française ne peut plus porter d’esclaves »
rien ne serait arrivé sans les révolutions pour sortir de nos conditions il nous faudra la RÉVOLUTION