Et ce silence, ce silence qui dure...
Ce silence qui doit continuer pour pouvoir continuer cette industrie mortifère.
Aujourd’hui, sept semaines après le tsunami du 11 mars 2011, la situation des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi se dégrade inexorablement. Le 28 avril, TEPCO annonçait que la radioactivité ambiante était de l’ordre de 1220 millisievert/heure,
ce qui correspond à quasiment 10 millions de fois la dose radioactive
artificielle admissible en France (1 millisievert/année). TEPCO, réputé pour ses mensonges outranciers
depuis le début de la crise, commence à préparer le monde entier à
l’éventualité, plus que probable, de son incapacité à contrôler cette
catastrophe nucléaire en 9 mois, ainsi que son carnet de route le
stipulait. Certains réacteurs sont en fusion totale (et ce, depuis le
premier jour), les fuites sont permanentes, les risques d’explosion sont
plus que plausibles, etc, etc. Alors que les émissions d’isotopes de
césium 137, de strontium 90, d’iode 131, de plutonium 239… contaminent en permanence l’atmosphère et l’océan, la presse Occidentale, aux ordres
de la mafia globaliste, qualifie la situation de stable, ou d’ailleurs
ne la qualifie plutôt pas, afin de ne pas paniquer les foules et surtout
de ne pas courroucer le gang nucléaire. La situation est effectivement
stable : la pollution radioactive de Fukushima
pourrait durer de longues années à moins que de nouvelles explosions
catastrophiques lui confèrent une tournure beaucoup plus abrupte. Le
nord du Japon aurait déjà dû être évacué. A quand l’évacuation de Tokyo
et de la totalité du Japon ?
http://www.kokopelli-blog.org/?p=375
Brisons le silence !