Commentaire de Fergus
sur DSK : de deux choses l'une...
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Salut, Le Chat.
J’ai évoqué cette possibilité non pour relayer les propos de quelques psychanalystes mais parce qu’elle m’a paru plausible.
D’une part en raison, effectivement, de la grande pression que subissait, semble-t-il, DSK de la part d’Anne Sinclair, véritable patronne de campagne et moteur de cette candidature à l’Elysée.
D’autre part en me souvenant du peu d’entrain manifesté par DSK lors des primaires de 2007 face à Royal. On avait alors parlé d’un Strauss-Kahn dilettante, mais peut-être ce dilettantisme (dont il n’a pas fait preuve au FMI) était-il déjà le signe d’un refus d’Elysée non formulé.
D’où la possibilité que DSK, à l’image du cheval d’obstacle qui chute en refusant l’obstacle au risque de se blesser, ait inconsciemment choisi la voie de l’« acte manqué ».
Bonne journée.
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11/06 00:29 - Antoine
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