« Il y a pas plus écolo qu’une banque » disait un aristocrate. Vous avez choisi votre camp. Ce sera l’impérialisme et la sacralisation de la rareté au détriment des peuples non-développé.
"Au même moment où Al Gore lançait son film en Europe, Sir Stern -il
faut l’appeler ainsi car la Reine l’a fait chevalier- lançait son grand
rapport sur l’urgence pour lutter contre la dérégulation du climat, de créer des marchés mondiaux d’échanges des titres d’émission de carbone.
Sir Stern, qui était encore à ce moment-là secrétaire du Trésor de Sa
Majesté, s’est depuis rapproché de ceux qui lorgnent sur ce marché
juteux puisqu’il est désormais conseiller spécial de HSBC, une des
banques historiques de l’empire colonial britannique. Il n’a fait que
suivre Al Gore à la City de Londres, puisque l’ancien vice-président
américain préside un fonds hyper spéculatif (hedge fund) basé à
Londres. Beaucoup de points communs pour les deux hommes, et Al Gore
avait aussi travaillé de près avec le gouvernement français : son film
avait été promu par le ministère de l’Ecologie et des milliers de DVD
avaient été diffusés dans les lycées de France.«
Vous pourriez aussi gratter du coté de teddy Goldsmith nommé »parrain de l’écologie mondiale" par le monde à sa mort en 2009. Un bon financier malthusien aristocrate comme il vous faut apparemment.
Sinon plus sérieusement, si les même efforts étaient mis pour l’agriculture bio + protectionnisme environnementale pour favoriser nos normes de pollution (tout en poussant ceux qui veulent commercer avec nous à avoir des normes strictes de pollution), nous serions un exemple pour l’humanité au lieu d’être des petits dictateurs mondialistes.