Ridicule parallèle qui se voulait comique entre le tourisme et l’immigration.
Et toujours cette idiote confusion entre l’immigration, phénomène purement économique et totalement orchestré : il y a encore cinquante ans, les états concluaient des accords entre eux pour déterminer le nombre des immigrés et la durée de l’immigration, aujourd’hui, le pouvoir étant passé dans les mains de la finance, l’orchestration du phénomène prend un aspect moins explicite et visible. Ainsi, lorsque le patron de Wall Mart réplique à G. W. Bush - dont je n’ai jamais approuvé la politique, y compris en matière migratoire - que son « mur » à la frontière mexicaine ne sert à rien vu que lui a besoin que chaque année 10 000 mexicains viennent bosser pour trois fois rien dans ses supermarchés/parkings/entrepôts, etc. et peut se donner les moyens de les faire venir quand même, on voit bien où et par qui se décide l’immigration massive et systémique.
Et non, au sein d’un même espace économique (qui correspond peu ou prou aux états nationaux, aujourd’hui), on ne peut pas parler d’immigration, même si le motif des déplacements massifs campagne->ville est économique. L’immigration induit nécessairement l’introduction d’un élément EXTÉRIEUR au marché local.