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Commentaire de Roosevelt_vs_Keynes

sur Dictature écologiste, non merci !


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Roosevelt_vs_Keynes 12 juin 2011 19:11

@ Croa

« D’après l’auteur nous serions menacé d’une »dictature verte« , mais en quoi serions nous libre de nos vies actuellement ? »

Quand je dis que le système financer a rendu les hommes imbéciles, je ne dis pas que nous sommes libre de nos vies, bien au contraire.

« Donc nous serions des individus comblés (vendus) menacés dans leur libre assujettissement par des moutons noirs libérateurs. »

Pas du tout : à nouveau quand je dis que le système nous a rendus imbéciles, je ne dis pas que nous sommes libres. Par contre, la liberté qu’offre l’écologisme malthusien c’est celle que je stigmatiserai en résumant l’idéologie à « nous sommes trop nombreux sur Terre ».

Or, si on remet le progrès scientifique (les véritables découvertes de principes physiques nouveaux comme c’est par exmeple le cas avec la fusion par laser découverte par Jean Robieux) au service de l’humanité, alors on sort du paradoxe.

"Nous vivons apparemment libres dans une démocratie apparente. Les écologistes (les vrais) invitent à un choix contraire.« 

Là est l’arnaque : j’invite les écologistes à se poser la question : pourquoi l’idéologie qu’ils défendent est parfaitement cohérente avec les politiques d’austérité qui étranglent les peuples ?

 »Du coup, cette écologie prend l’apparence d’une dictature. C’est d’ailleurs le sentiment de l’auteur. Apparences et réalités, voilà comment les choses sont inversés...« 

C’est l’inverse : les intérêts financiers sont dirigés historiquement par un empire britannique qui, depuis la mort de Roosevelt, ne travaille qu’à une chose : réduire la population mondiale à moins d’1 milliards d’habitants. C’est ce que prône Schellnhuber explicitement.

A l’opposé, si on redéveloppe une culture de la découverte, alors on sort du piège des »ressources limitées" et on peut faire en sorte de lancer enfin l’humanité dans l’aventure humaniste de l’exploration spatiale : aller au-delà de nos propres connaissances sur nous, l’univers, donc autrui.


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