@King al batar,
Je m’associe aux autres commentateurs et dire que j’adhère complètement à votre premier commentaire.
La critique d’Israël ne doit pas être synonyme d’antisémitisme, ni antijuif. Soulever la prépondérance de certains politiques d’orgine juive et soutenant osentensiblement Israël n’est pas non plus une attitude contre les juifs, de même critiquer l’islam et l’intégrisme musulman ne doit pas être synonysme d’islamophobie, soulever les problèmes sociaux que vit la France par une politque désastreuse sur l’intégration des immigrés ou les personnes issues de l’immigration ne doit pas systématiquement nous faire traité de raciste.
Il y a un double discours autant sur le plan national qu’international quand il s’agit de traiter ses deux sujets. Le dernier exemple : on intervient dans deux pays souverains, la Libye et la Côte d’Ivoire, au nom de la paix et la protection des civils, et dans le même temps on invite cette même communauté international à attendre que les deux parties concernées, cad Israêl et les Palestiniens se décident, en sachant qu’il y a un qui joue le pourrissement, et des politiques dilatoires tout en grignotant les territoires palestiniens par une poitique de colonies, alors que les Palestiniens vivent dans un gégantesque camps de concentration, n’ont aucune carte sauf celle de la lutte y compris la lutte armée.
L’Italie qui bombarde la Libye refuse de reconnaitre un Etat palestinien et surtout dit « »Nous ne pensons pas qu’une solution unilatérale puisse aider la paix, ni du côté palestinien, ni du côté israélien. Je crois que la paix ne peut être atteinte qu’au travers de négociations" C’est vrai que Berlusconi qui parle, mais il le fait au nom de l’Italie.
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/monde/20110613.OBS5053/netanyahou-savoure-l-opposition-de-rome-a-la-reconnaissance-de-la-palestine.html