Par eric (xxx.xxx.xxx.104) 19 juin 15:46
En dernière analyse, les communiques d’attac, qui connait des problèmes financiers récurrents, sont finances assez largement par des subventions de collectivités publiques. Contrairement aux partis politiques qui sont finances de droit par l’État, ici, il s’agit de décisions libres par exemple des élus
Effectivement, il ne s’agit pas de financements d’état, mais de subventions de collectivités publiques, qui ne sont pas des subventions de FONCTIONNEMENT, mais des subventions de tâches effectuées (conférences, rapports, etc...) comme pour beaucoup d’autres associations loi de 1901, de tous bords politiques, selon les collectivités publiques. C’est tout à fait légal, ou alors, il faudrait interdire aux collectivités publiques d’accorder toute subvention ; ce qui n’est pas le cas en France.
Pour beaucoup, il s’agit d’elus de partis de gauche favorables a l’europe dans ses modalités actuelles.
Non ; la preuve, dans la liste de la pétition, on retrouve un tas d’élus européens de gauche, qui dénoncent, donc, l’Europe libérale de Barroso.
Pourquoi Attac accepte elle cet argent qui compromet a l’évidence son indépendance ?
Mensonge. Attac accepte des subventions qui ne compromettent EN RIEN son indépendance ; la preuve en est que ses combats sont toujours altermondialistes, depuis sa création.
Aucune compromission là-dedans.
Quant aux "hémorragies régulières d’adhérents, vous avez des chiffres ?
Non. Vous vous contentez de mener votre petite campagne de désinformation contre Attac qui, manifestement, vous gène beaucoup ; c’est un excellent signe ; c’est la preuve qu’Attac tape juste, contre les néolibéraux, dont vous êtes un fidèle représentant.
Reconnaissable, d’ailleurs, aux mensonges, désinformation, procès d’intention, amalgames et confusions volontaires.
C’est ma dernière réponse à votre petite propagande qui, je le répète, est totalement hors sujet.
Si vous voulez parler d’Attac, faites en un article, et on se fera un plaisir d’y répondre, en démontant toutes vos contre-vérités.
Maintenant, assez perdu de temps, avec un petit télégraphiste des mafias : basta. .