"j’ai du mal à voir la cohésion de l’ensemble comme si vous étiez
emporté par votre sujet et d’un coup vous êtes dans une salle de marché,
dans un réacteur détruit..."
Le principe de cohérence de cet article est, en soi, un tabou. Par définition, il n’a donc jamais été débattu publiquement intelligemment (c’est à dire en montrant la porte de sortie). Ainsi, lorsqu’on le présente, comme je m’y suis efforcé ici, on a du mal à comprendre d’où il sort.
Le principe qui est tabou, c’est de dire que la spéculation financière ne pourrait exister sans cette idéologie écologiste oligarchique par essence malthusienne, exposée avec le WWF dans son aspect le plus extrême et radical.
En retour, cette idéologie ne peut exister si on passe du système libre-échangiste britannique, au véritable système d’économie politique américain de type hamiltonien, c’est à dire à un système de crédit productif public (voir ce pédagogique pour comprendre de quoi il s’agit).
Vu que l’arnaque commence à être de plus en plus évoquée, l’empire contre-attaque (et oui...). C’est à dire que ce qui doit mettre en faillite organisée le système financier et monétaire spéculatif international, à savoir la procédure Glass-Steagall, est récupéré quasiment le même jour à la fois par La City et par... les Verts afin de vider le principe du Glass-Steagall de sa substance, et transformer le Glass-Steagall en simple mesure bancaire technique (séparation des activités bancaires) qui ne changerait rien à rien.
Ecoutez bien la vidéo indiquée pour les Verts : le Glass-Steagall est évoqué... mais aucun
projet, aucune direction de principe, pas question de fermer les banques
centrales, ni de redonner les rênes du crédit aux Etats, La City et Wall Street ne sont pas même évoqués comme cibles du Glass-Steagall... Forcément : les Verts ne dénonceront jamais leur mère nourricière : la spéculation.