Lorelei,
C’est bien ce que je disais juste avant : il n’y a pas de malentendu. Il y
a de votre part une position rigide et, à mon avis, paranoïaque des
relations de couple. Un refus ou une impossibilité de comprendre la
circonstance. Je reprécise car vous semblez ne pas avoir lu : le fait
d’éveiller l’autre par son propre désir peut se heurter à un refus qui
sera respecté. Il faut vous remettre les idées d’aplomb si vous pensez
lire une relativisation du viol.
Tous les auteurs qui ont commenté ce point dans ce fil ont compris la
différence et la situation, sauf vous. Il y a dans un couple une forme
implicite de confiance, de bienveillance, de complicité, de surprise, de
spontanéité gestuelle, une sorte de contrat non écrit qui autorise à
des gestes, des désirs, des démonstrations, sans que l’on demande une
autorisation en trois exemplaires avant. Mais bien évidemment que dans
le couple que je décris, on peut se dire : « Pas maintenant », et même on
le sent. Montrer son désir est une forme d’amour envers l’autre ;
accepter que ce ne soit pas le moment est un respect.
Votre vision du couple m’effraie et, je le redis, je la trouve
paranoïaque et contraignante. Une façon pour vous de dominer l’autre ?
Possible. Car dans votre discours la menace pénale n’est jamais loin. Je
n’entends chez vous rien sur la tendresse, le désir ou l’amour,
seulement sur la contrainte et la menace.
D’autre part, n’en faites pas trop. La définition du crime contre
l’humanité est autre. Relisez des sources fiables plutôt que de donner
vos interprétations fantaisistes et aléatoires. Les mots ont un sens.
Par ailleurs, concernant le corps, le shinto, le bouddhisme, la personnalité, vous n’avez toujours rien défini.
Dialoguer avec vous comporte trop de confusion pour moi. Cette fois j’arrête tout-à-fait.
@ Pohl-Adolph : Vive le doute !