S’il y avait une augmentation des températures de l’atmosphère, on l’observerait sur les série de relevés de températures dont on dispose depuis les années 1870, c’est à dire depuis que l’on a des relevés à peu près fiables, au moins sur certains points du globe.
Cette date est d’ailleurs assez bien choisie puisque c’est approximativement la date de la seconde révolution industrielle.
Or, on ne constate aucune variation des températures qui soit statistiquement significative.
Autrement dit : la variation des températures ne semble pas avoir d’autres causes que le pur hasard.
Dans ces conditions, on parle aujourd’hui d’un phénomène que l’on n’a pas objectivement observé, en l’expliquant par des causes qui pourraient tout aussi bien expliquer le phénomène inverse.
Ce n’est pas de la science.
On atteint le sommet du grotesque lorsqu’après avoir souligné que les hivers ont été particulièrement rigoureux ces dernières années en Amérique du Nord et en Sibérie Orientale, on obtient pour toute réponse que cette baisse apparente (et je dis bien : apparente) des températures observées s’explique par le réchauffement de la planète !!
Par incidence, est-il aussi besoin de rappeler que le niveau des océans ne s’est pas élevé d’un seul millimètre au cours de ces dix derniers milliers d’années, toutes les mesures objectives permettent de l’affirmer, et que, dans ces conditions, les gens peuvent dormir tranquille aux Maldives, probablement pour quelques centaines d’années supplémentaires ?
Tout ceci ne retire rien au fait qu’il faudrait sans doute limiter les émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère, ne serait-ce que pour un raison : le CO2 n’est pas propre à l’oxygénation du sang des mammifères.