@Furax
On peut se fier à la personne qui a examiné la victime
http://www.lemonde.fr/dsk/article/2...
Cette article, même si la source n’est pas unanimement reconnue pour son impartialité, corrobore mes propos. Je suis soignant de profession, je suis un homme, et je me suis retrouvé face à des cas similaires.
Ce sont des situations atroces. Au dela d’une femme (ou d’un homme), c’est un être humain brisé que vous avez face a vous. Il faut le vivre pour comprendre que l’objectivité du spectateur prend un temps considérable avant d’émerger (Bref, vous avez souvent envie, dans l’immediat, « de casser la gueule du salaud qui a fait çà »...). Le véritable coupable dans cette affaire, c’est la sphère mediatico-politique qui joue du sensationnel.
L’avis de madame Badinter.....
La seul qualité que je lui reconnais, en toute objectivité, c’est d’avoir pris le temps de la réflexion avant de s’exprimer.
Quant
à Tristane Banon, amie de la famille DSK, mère opposée à la plainte, on
devine combien c’était difficile pour elle.
D’ou encore une fois l’importance d’éduquer la population. L’entourage, au sens large, d’une femme doit être vigilant. Un changement brusque de comportement, un replie sur soi, doit susciter le dialogue avec un parent, une amie qui doivent savoir épauler la victime.
Il faut que notre société comprennent qu’une femme victime d’un tel acte doit être soutenue par son entourage et par un service social public.
Bien-sur ma vision reste utopique, j’en convient. Changer les moeurs est le travail de plusieurs générations...