Les féministes en sont même venues à demander la prise en compte des violences psychologiques. dans la loi.
Soit qu’elles croient sincèrement que les femmes seules en soient victimes, soit qu’elle surfent sur l’extrème difficulté pour les hommes de faire connaître et faire reconnaître les violences dont ils sont victimes.
Dans la pratique, ce son t bien les hommes qui sont le plus gravement victimes de violences psychologiques :
- ils habitent presque toujours chez leur femme. N’avoir pas ou peu de « chez soi » est une violence grave, bien qu’acceptée dans le passé par les hommes au titre de leur responsabilité
- ils sont en permanence et à plus de 80 % (pourcentage des séparations initiées par les femmes), menacés de perdre leurs enfants,
- leur femme se considère comme le seul véritable parent, elle prend toutes les décisions concernant les enfants, a toujours priorité auprès d’eux dans l’esprit du public et fait le barrage pour empêcher le père d’être trop présent à son goût. Elle n’hésite pas à dénigrer le père si elle estime que sa domination est menacée.
L’homme n’a pas de légitimité dans la vie privée. La femme ne le permet pas.
J’ajoute que c’était déjà le cas au temps dit du patriarcat. La diférence étant qu’à l’époque la femme n’était pas dévalorisée d’être « au foyer », elle y était à sa place selon le slogan : « du travail pour le père, de l’aisance pour la mère ». Donc le père se privait (ce fut mon cas) volontairement de sa part de vie privée comme inhérant à son statut d’homme, pratiquant presque toujours la discrimination positive à l’égard des femmes comme une chose allant de soi. Les tensions étaient ainsi beaucoup moindres.
Sur ce point (et sur d’autres), on peut parler de régression sociale, comme on parle (avec raison à mon avis), de recul de la civilisation.
Il faudrait tout de même créer une situation dans laquelle il ne serait plus nécessaire de se défendre (comme c’est le cas ici) d’une façon sexuée.