Commentaire de Catherine Segurane sur Abattage rituel : le gouvernement méprise la liberté de ne pas croire

Commentaire de Catherine Segurane

sur Abattage rituel : le gouvernement méprise la liberté de ne pas croire

Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Catherine Segurane 19 juillet 2011 14:59

Un grand bonjour, Docdory.

Oui, les aspects économiques sont fondamentaux.

A la base, il est impossible de produire de la viande sacrificielle dans grands gaspillages (gestes sacrificiels ratés par exemple). L’écoulement de ces viandes sacrificielles ratées auprès du consommateur lambda est indispensable à l’équilibre économique de la filière.

Pareil pour le casher. Certains rabbins ont décidé que les quartiers arrières des animaux, même abattus rituellement, ne pouvaient pas être kasher. D’où nécessité de les écouler auprès des goys.

Répondre Signaler un abus

Voir ce commentaire dans son contexte

Derniers commentaires

23/08 16:23 - watson

Dénoncer c’est bien et il faut le faire, ensuite il faut agir : http://www.actionsita.com/art
24/07 13:49 - Laratapinhata

Il y a des surplus, parce que tous les morceaux de barbaque ne trouvent pas preneurs...cela (...)
21/07 10:13 - mathe-rob

@ Commando Pernod Vous vous êtes choisi un pseudo qui vous va comme un gant (...)
21/07 06:32 - Catherine Segurane

Oui, Castor, j’ai bien compris, mais je pense qu’il fallait formaliser cette (...)
21/07 06:26 - Catherine Segurane

Lady Panam, Votre mépris pour la fondation Brigitte Bardot témoigne de votre arrogance et de (...)
20/07 18:56 - mathe-rob

@ castor Bien dit ! Certains sont tellement persuadés que le fait de vouloir un étiquetage est (...)

7 derniers jours

Articles les plus lus

Participez à Agoravox

Inscrivez-vous