@ jullien
Comme je vous l’ai déjà dit dans
ma première réponse, je pense en effet que le Conseil d’Etat connaît la loi et
ne fait que l’appliquer dans ses possibilités les plus dangereuses.
La solution est donc dans
l’amélioration de la loi pour qu’elle défende vraiment la laïcité et les autres
valeurs républicaines.
Par ailleurs elle doit permettre
à un propriétaire de gîte d’y interdire le prosélytisme dans ses parties
communes, comme a voulu le faire Fanny Truchelut dans le sien, ce qui lui a
coûté très cher. Beaucoup plus cher que, lors d’un jugement récent, ce qu’a
coûté à un « rappeur » s’affirmant musulman le fait d’avoir diffusé une
vidéo dans laquelle on le voit crier sa volonté d’égorger une personne qu’il cite
nommément. Il avait précédemment, dans une autre vidéo, crié la même chose, un
couteau à la main, contre une autre personne également citée nommément. Justice
?
Mon combat contre la violence
religieuse, depuis près de 20 ans maintenant, m’a amené à constater que la
défense des libertés peut conduire à leur disparition lorsqu’elle reste
simplement (stupidement) formelle.
La France, comme d’autres pays occidentaux, sont entrés dans une ère de folie sur ce point.
Alors que le renouveau de l’islamisme montre partout dans le monde des effets
épouvantables - comme ce fut le cas durant toute l’histoire de l’islam - ces
pays sont fiers d’appliquer leurs lois dans ce qu’elles ont de plus dangereux
pour permettre, chez eux, le développement de cette religion jusqu’ici
faiblement présente.