et bon comme ça a aussi rapport avec le sujet, je le met ici aussi :
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25 juillet 2011
Désolé de retomber dans les catacombes de l’obscénité, mais c’est la propre femme de chambre guinéenne du Sofitel qui nous oblige à un tel langage fleuri après ses interviews en chaîne ce lundi à deux grands médias américains sérieux et non people : l’hedomadaire Newsweek et la chaîne de télévision ABC.
Selon la revue, il ne s’est passé que neuf minutes entre l’irruption de Nafissatou Diallo dans la suite 2806 de DSK le 14 mai et la fin de la rencontre, confirmée par un appel de l’ex-patron du FMI à sa fille Camille pour leur déjeuner immédiat, confirmé par l’enquête.
En neuf minutes, DSK aurait donc eu le temps, si l’on suit les dires de la plaignante, plus grande et forte que lui (dixit Newsweek), de tenter de la pousser sur le lit pour une fellation ratée, avant de l’attirer dans la salle de bains, de lui arracher ses bas, de la faire mettre à genoux, et de lui imposer une pipe jusqu’au climax, avant qu’elle ne recrache les oeuvres de l’homme et ne sorte de la suite.
Sauf si DSK souffre d’éjaculation précoce, ce sont neuf bien petites minutes pour une agression présumée, dans le contexte évoqué par l’accusatrice sur son refus de céder par la force à un homme plus petit qu’elle, âgé de 63 ans, avec pour conclusion une éjaculation dans la bouche de la femme de chambre. Toutes les femmes interrogées par mes soins confirment que dans un tel cas de figure elles auraient émasculé l’homme d’un coup de dent.
Cette pipe de neuf minutes ne ressemble guère à un acte forcé.
On a peine à imaginer un tel homme, si son acte sexuel a été consumé sous la
violence, prendre le téléphone dès le retrait de la bouche féminine pour
appeler au téléphone sa fille et lui confirmer leur déjeuner immédiat
dans un restaurant de New York. S’il y a eu viol, avec la victime qui
s’enfuit, l’auteur de l’abus sexuel n’a-t-il pas pour première
initiative de filer de sa suite sans demander son reste ? Dans le cas de
DSK, il a pris le temps de téléphoner à sa fille, puis d’aller payer sa
chambre au desk, de déjeuner avec sa fille, avant d’appeler l’hôtel sur
la route de l’aéroport pour signaler l’oubli d’un second téléphone
portable.
Déjà coupable d’une série de mensonges, reconnus par elle, sur son pseudo-exil politique aux USA et son faux viol par des Guinéens, Nafissatou Diallo en a rajouté un dans ses interviews. Elle avait d’abord affirmé que DSK n’avait pas prononcé un seul mot pendant leur rencontre. Maintenant, elle avoue qu’il lui a dit d’abord « vous n’avez pas à être désolée », quand elle s’est excusée de se trouver devant lui, nu, dans la suite, avant d’ajouter « vous êtes belle ».
Je ne reviens pas sur les autres mensonges concernant sa fuite dans le hall, alors que l’enquête a prouvé qu’elle avait été dans une autre suite, avant de revenir dans celle de DSK pour y faire le ménage. Le New York Times ne manque pas de relever les « larmes forcées » de l’accusatrice dans son interview à Newsweek.
Cette affaire met au jour une série de nouveaux éléments :
1/ La femme de chambre joue son va-tout pour retirer un maximum de dollars du procès à venir. C’est une évidence. Comment une victime de viol peut-elle s’adonner à des interviews en chaîne, visage à découvert, une semaine avant la convocation décisive le 1er août de DSK devant le procureur Cyrus Vance Jr, si ce n’est pour influencer la décision du magistrat ? Les avocats de DSK ne s’y sont pas trompés. Selon eux, « il s’agit de la première plaignante dans l’histoire à mener une campagne de presse pour persuader les juges de poursuivre une personnne dont elle veut obtenir de l’argent ».
2/ Le procureur Vance joue, lui, sa carrière. Ces accusations de la Guinéenne, jointes à son intention de convoquer la Française Tristane Banon pour la présumée tentative de viol contre elle par DSK en 2003 à Paris, visent à lui permettre d’éviter le non-lieu que ses services avaient donné comme inéluctable après les mensonges réitérés de Nafissatou Diallo, et d’engager un procès contre DSK. Un tel coup de théâtre le sauverait de la chute, après son incarcération sans preuve de l’accusé menottes aux mains, l’exigence d’une caution de 5 millions de dollars et l’obligation pour l’inculpé de payer 120.000 dollars par mois à une société privée de sécurité pour le surveiller, avant la libération sur parole de l’accusé et l’annulation de ces impositions financières face à une dossier « en train de s’écrouler », selon les sources judiciaires américaines."
29/07 19:27 - aliciabx
MoDem : Retour à l’envoyeur http://125democrates.free.fr/cms/index.php?page=modem-retour-a-l-
29/07 13:38 - JL
la photo ? Oui, je sais, c’est comme le pseudo morocon ! Les mêmes : une invasion de (...)
29/07 13:32 - beneolentia
...de me laisser enfin en paix. ps : vous savez a propos de la photo de darkcrystal dont vous (...)
29/07 13:21 - beneolentia
29/07 12:24 - crawfish
29/07 11:57 - darkcrystal
Ouais, ça c’est ben vrai ça mon gars, c’est ptêt parce que c’est rien (...)
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