Ah ces avocats...
Ca cause ,ça cause, ça s’agite, cela fait des effets de manche, mais cela ne fait que brasser du vent, même pas récupérable par les éoliennes,noircir des tonnes de papiers que personne ne lira et qui iront moisir dans quelques caves de greffes.
Ne parlons même pas de leur expertise,ils ne connaissent rien,ne comprennent rien en aucune matière.Une voie royale pour les experts de tous bords, souvent autoproclamés,autre corporation prête à « saigner la bête »
Ainsi donc nous devons laisser les gaz de schiste dans le sol pour les générations futures ?
Générations qui devront également les laisser pour les suivantes et ainsi de suite.
Bref, on les laisse en l’état ad vitam.Voilà un argument qui ne rsique pas de faire sursauter un président perché tel l’aigle royal sur son estrade.
Il y aurait des dangers épouvantables dans cette extraction.
Aux USA, cela fait 40 ans que l’on exploite, plus de 100.000 puits ont été forés,et je n’ai pas entendu parler d’exode de populations de régions « mortes pour un million d’années » ?
Pourtant, aux USA, ils ont des associations environnementales très puissantes ;qui ont les moyens de traduire les « requins » en justice avec le concours d’avocats motivés ,payés aux résultats(vrai que ça motive ça)
Ils ont une administration EPA, tatillonne,très puissante, agissant au niveau fédéral,qui surveille cela de très près.Bizarre qu’elle n’interdit pas cette calamité ?
mais dites-moi, à ce compte là, on son temps, si nous avions eu des avocats aussi impliqués dans la protection de l’environnement, jamais nous n’aurions exploité le charbon.
Qui dit pas de charbon pas de révolution industrielle, et une nature que n’aurait pas renié Rousseau.
Pas de terrils, emblèmes défendus bec et ongle avec fierté par une région.
Bref, trouvez d’autres arguments, car cela me paraît bien difficile à défendre devant nos amis polonais par exemple.
Et puis, il en faudra du gaz si vous voulez que l’on plante des éoliennes.
Moi j’ai la nette impression que cela va forer dur,et heureusement d’ailleurs.