Je dois avouer que je n’ai pas eu le courage de lire jusqu’au bout votre article, trop de détails, finalement on finit par s’y perdre et ne jamais trouver le diable qui est pourtant censé si cacher.
Cet article est un peu à l’image de tout ce qui se fait dans le domaine, un galimatias de faits, d’anecdotes, qui nous éloignent toujours plus d’une vision globale de l’affaire, qui à mon sens elle seule permettrait de démêler l’écheveau.
Combien d’articles, d’analyses minutieuses, de coupage de cheveux en quatre sur ma moindre petite seconde de vidéo, avec le petit machin à droite qui fait truc ou plouf, ce qui prouve ainsi que c’est bidule qui l’a fait.
Le raisonnement hypothético déductif, vous le prenez à l’envers, comme tout ce que produisent les truthers, c’est à dire partir du détail pour valider / invalider une thèse générale.
Ce type de raisonnement est sans intérêt, d’une part car il existera toujours des détails qui iront dans un sens ou dans l’autre, surtout si l’on est devant un scénario de type ’sous fausse bannière". D’autre part cela fragilise totalement la thèse globale en la rendant dépendante des détails, car former une thèse à partir du détail, c’est aussi en accepter l’invalidation totale par le moindre détail.
Au final on arrive à la situation actuelle, celle de millions, de milliards de mots produits autour de ce sujet, et finalement rien de bien concret au bout.
Pour conclure, en suivant la ligne du raisonnement du plus général vers le particulier, je suis arrivé à la conclusion suivante :
Il est inutile de corréler le WTC du Pentagone, ces deux évènements sont distincts.
L’attentat contre le WTC est probablement un false flag, à but psychologique fort.
Le Pentagone ne l’est pas, pas une psy ops, d’où la gène et le silence autour cet évènement.
Je pense à une vraie attaque de missile de test (pas de doute sur la photo du trou) d’une puissance étrangère par le détournement d’un missile tiré lors des exercices du NORAD au même moment.
La suite au WTC, sa mise à terre, probablement non prévue au départ, fut la seule solution trouvée pour ’masquer’ cette opération sous faux drapeau ratée, dans laquelle les US se sont fait doubler. Il a aussi fallut détourner un maximum l’attention du PTG.