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Commentaire de joelim

sur 11 septembre : à la lumière du dossier SPS le mystère s'épaissit


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joelim joelim 30 juillet 2011 19:24

En particulier, la trajectoire d’approche, en boucle descendante, de l’avion du Pentagone et sa course finale en rase-mottes au-dessus d’une pelouse restée intacte pour finir au rez-de-chaussée du bâtiment d’État est tellement unique et si inouïe qu’elle est en soit improbable au sens propre du mot. À moins que l’inexpérience du pilote ait participé à ce hasard si singulier ! ! !

Les debunkers disent qu’il s’est entraîné au simulateur. Je l’imagine bien dire à son instructeur : « je ferais bien des centaines d’expériences d’écraser mon bœing sur une cible au sol... ça ne vous dérange pas ? je viens pour apprendre à piloter mais j’ai envie de m’amuser... »... Nul doute que l’instructeur s’en serait rappelé. Le simulateur professionnel étant à but pédagogique, l’instructeur jette bien un œil de temps en temps pour voir ce qui s’y passe... Il doit y avoir des logs... Quant aux simulateurs pour PC, aucune raison qu’il puisse préparer à maîtriser des trajectoires extrêmes.

Il faut garder à l’esprit que la manœuvrabilité et la visibilité vers le sol quand on est assis aux commandes d’un avion de ligne n’a rien à voir avec celles d’un avion de combat.

Intéressant, en plus c’est simulable. Le taux de descente final est donné dans le numéro de l’AFIS, sur le graphique un peu plus de 100 mètres pour les dernières 5 secondes. 4500 pieds/minute soit environ 23 m/s sur les 20 dernières secondes. Cela dit la vitesse a dû le faire piquer un peu du nez. Mais peut-être pas suffisamment ? A mon avis on peut déjà vérifier sur un simulateur de vol pour PC, s’il modélise précisément les cockpits de chaque type de boeing. Mais j’imagine que ça a déjà été fait et que ça n’a rien donné ?

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