On s’autorise à dire, dans les milieux autorisés, comme disait Coluche, que la CIA entretient de part le monde des fous de dieu, ou des fous de haine, à grands frais, et à toute fins utiles. Dès qu’on parle attentat, vous pouvez sans vous tromper évoquer la CIA.
Ces mercenaires sont de bâtons de dynamite prêts à sauter au premier appel.
Ainsi, l’Express annonçait le 18/7 que la Norvège s’apprête à approuver le désir de la Palestine de devenir un État, à une prochaine réunion de l’ONU :
http://www.lexpress.fr/actualites/2/monde/la-norvege-juge-lacandidature-de-la-palestine-a-l-onu-legitime_1016151.html
Trois jours après, c’est le massacre.
Je prétends, moi, que la CIA a appuyé sur le bouton du détonateur. C’est dans sa manière. Ce sont ses options, et les buts concordent.
Le tueur dispose depuis 5 ans de 90.000 dollars annuels sur son compte en banque, alors qu’il n’a pas d’activité connue. De plus, plusieurs témoins affirment que les coups de feu venaient de plusieurs directions. Cela ressemble à l’affaire Kennedy, à la balle magique qui l’a tué, au tireur solitaire Lee Harvey Oswald offert sur un plateau à la vindicte populaire.
Mais il faut réfléchir un peu plus loin. Le complot est ici encore évident, pour qui sait lire au-delà des apparences.
En tous cas, le peuple Norvégien réagit avec dignité, avec intelligence : la tactique échoue lamentablement, et la CIA rate son coup. Ce crime sordide n’engendre pas la haine de l’autre, mais un sursaut de solidarité. C’est ainsi que les peuples doivent se serrer les coudes dans l’adversité, sans céder ni aux menaces ni aux provocations.
C’est ainsi que nous vaincrons l’Empire, ses dirigeants corrompus et ses milices assassines.