Bon, alors, rester dans l’euro ? en sortir ? comme si là était la vraie question. 
Le problème ce n’est pas l’outil mais bien la manière dont on en use.
Il s’agit donc de juger l’ouvrier et non l’outil.
Les ouvriers sont la BCE, c’est aussi les promoteurs de « lisbonne », de maastrich, et déjà, bien avant, c’est les fondations posées par giscard et pompidou avec leur fumeuse loi rothchild... et ainsi on remonte le temps jusqu’à l« époque où l’euro n’existait pas mais où les graines du mal actuel ont été semées.
Avant ça, l’état était souverain sur sa monnaie et détenait un monopole datant de Philippe le Bel : la création monétaire.
Bon an, mal an, il empruntait à la BDF l’argent dont il avait besoin, bonne fille, la BDF lui prêtait à taux nul et détruisait cet argent, qu’elle avait créé pour la circonstance, dès la dette remboursée.
Faut il voir un lien avec le fait que le promoteur de cette loi de 73 obligeant l’état à emprunter aux banques privées ait été justement Pompidou le number 2 de la banque rothchild ? La partie »complotiste« de mon cerveau limbique me pousse à le croire malgré les efforts méritoires de la partie mammalienne de mon cortex »raisonnable" pour me persuader du contraire.
Depuis cette loi rothchild c’est à dire depuis 38 ans (déjà... hélas !) c’est la modique somme d’environ 1500 milliards d’euros qui a été transférée aux banques privées au titre des intérêts.
Quelque soit la monnaie, ne devrions nous pas étudier les possibilités d’une abrogation de cette loi, c’est à dire revoir maastrich et lisbonne ?