Encore une belle tentative de dévoiement des faits en en maquillant les véritables causes.
Quand les problèmes ne sont pas le résultat d’États vivant au dessus de leurs moyens, il sont la conclusion obligée des flux migratoires.
On arrête, là :
les problèmes dans la plupart des pays (Europe et Moyen-Orient compris), sont le résultat évident d’un mal-être social généralisé de peuples qui subissent le pillage, le mépris et la violence politique d’élites auto satisfaites jusqu’à l’absurde.
Méfiance ! Cela s’est toujours mal terminé et se lancer dans d’inutiles imprécations et de ridicules simplifications à usage de court terme politique n’a jamais servi à rien.
La jeunesse anglaise est au bord de l’abîme, elle le sait et elle en souffre.
Elle est donc prête à saisir chaque occasion, chaque prétexte pour exprimer son désespoir rageur.
Aux USA, ils en sont au stade Tea Parties, et ça ne vaut pas mieux : l’enjeu là-bas n’y est rien moins que la survie de la Fédération fondée par les républicains de Lincoln.
Même la Chine s’y met ! Pourtant on a beaucoup de mal à y détecter des traces de dépenses sociales inconsidérées ou des soupçons de flux migratoires (sauf celui des entreprises occidentales toujours à la recherche de gains sur l’exploitation de main-d’œuvre corvéable à merci, bien entendu).
Nous allons vers une ère de remous d’une extrême violence.
Et lancer une guerre contre l’Iran ne servira à rien d’autre qu’ajouter la mort à la misère, car l’ennemi n’est pas musulman, ni exotique.
Il est riche, paresseux et parasite social invétéré. Son seul effort est d’appuyer sur un bouton en salle de change et de faire chanter les législateurs.
Il veut mourir gras ?
Tout ce qu’il génère c’est un cruel désir de le voir mourir maigre