.L’auteur nous dit que la mendicité est un modéle social.
N’importe quoi, l’auteur se demande si, dans le contexte d’une société sécuritaire, d’hyper-consommation et de chomage de masse, il devrait culpabiliser de sa situation. Il solllicite également les commentateurs pour qu’ils donnent leurs opinions. Il n’a jamais érigé son mode de vie en modèle.
D’autre part, il ne s’agit pas de mendicité. Il vit des aides sociales (la mendicité c’est le modèle anglais). Quel part des dépenses publiques represente les dépenses sociales ? Je vous invite à les mettre en rapport avec le budget militaire ou les sommes qui ont été dépensés pour « sauver » (ah, ah !) les banques. Lesquelles de ces sommes sont les plus utiles ?
D’autant que comme il l’explique, ces 400 euros il les dépense dans les commerces de son quartier comme 95% des allocataires du RSA donc franchement, le cout à la société de ces aides sociales est dérisoire puisque toutes les aides sociales retournent dans le circuit (hormis les fraudes organisées, mais c’est un autre problème) et reviennent en partie à l’état sous forme d’impôt indirect.
L’aide aux banques, elle va à la spéculation et le financement de l’armée sert à provoquer des guerres partout dans le monde et à nous faire de nouveaux ennemis chaque jour, des ennemis qui viendront ensuite se faire sauter dans nos villes et qui serviront finalement de pretexte pour retirer nos dernières libertés tandis qu’on nous spoliera de nos dernières économies pour « sauver » (ah, ah !) les banques.