Merci, morice, de me donner les moyens de faire
connaissance avec les copains que je fréquente quotidiennement.
Avec un peu de
chance et grâce à vous je finirai peut-être un jour par en rencontrer au moins
un.
Mais vous vous fatiguez trop et ça me fait de la
peine.
Surtout, ça m’inquiète pour la culture politique
de mes concitoyens.
A ce rythme de dépense altruiste vous allez finir par vous
épuiser et obliger les lecteurs d’Agoravox, entre autres, à devoir se passer de
vos géniales analyses.
Alors je veux vous aider.
Et donc j’avoue tout :
Un jour j’ai lu sur un site - que je ne citerai
pas tant j’ai honte de l’avoir consulté - qu’un gars avait trouvé dans un
journal un entrefilet où une dame disait qu’une amie à elle avait, sur la plage
où elle passait ses vacances à l’époque de sa jeunesse, entendu dire qu’un
homme à l’air louche avait été surpris derrière un rocher en train de lire "Mein
Kampf".
C’est bien LA PREUVE que c’était moi qui, en 1925, avait tenu la
main de l’individu qui écrivait la chose.
Que ces aveux, qui me coûtent tant, vous permettent au moins de vous reposer un peu .
La France encore saine a tellement besoin de vous.