Evidemment d’accord avec ce constat tout à fait juste.
Les « marchés » (lire mafias financières) ne cessent d’agiter le spectre de la dette, pour augmenter les intérêts de leur usure auprès des états mais, de fait, la dette a déjà largement été remboursée par les états à travers les intérêts qu’ils paient.
La solution ; faire comme les Argentins en 2001, ou les Islandais plus récemment ; décréter unilatéralement, l’abandon de la dette.
Les états ne doivent plus rien aux usuriers (qui se sont suffisamment gavés comme ça) et recouvrent le droit d’emprunter à leurs banques centrales sans intérêt.
Si cela doit provoquer la faillite de banques privées, ou d’organismes financiers, eh bien, qu’ils fassent faillite ; que leurs avoirs soient saisis.
Que les banques privées prêtent avec leurs fonds propres, ou qu’elles soient elles-même contraintes à emprunter leur argent aux banques centrales, AVEC INTERETS ; ça les rendra plus prudentes sur leurs jeux de casino.
Quoi qu’il en soit, il est temps que cesse la loi des « marchés » au détriment des états et des citoyens ; glass steagall act II, réforme monétaire ; STOP à la privatisation et à l’asservissement du monde par les mafias financières.
Abrogation de la loi de 1973, comme de tous les articles des traités européens entérinant cette énorme escroquerie planétaire.
VITE.
Et, effectivement, n’accordons nos voix (électorales) qu’aux représentants des partis qui inscrivent cette réforme dans leurs programmes.