Déjà, l’inflation a changé de définition : c’est devenu le prix d’un panier de produit délocalisable (pas pour favoriser les délocalisation sans doute) !!!
Or, il y a eu 100% d’augmentation de masse monétaire entre 2000 et 2010...
Admirons donc que la BCE aurait échoué dans sa mission (même avant les actuelles quantitative easing) avec la définition originelle ou alors la richesse à doubler mais sans tenir compte que la variable ajustement était la dette publique (bonne poire pour amortir les crises contrairement au 30 glorieuses anti-finance folle) ce qui est tout autant criminel.
Quoi qu’il en soit, c’est pas l’intérêt au-dessus du crédit qui empêche l’inflation au contraire cela aggrave mathématiquement l’inflation. Cela est juste sensé décourager les dépenses inutiles.
Mais sauver les banques était utiles ou non et pourquoi payer un intérêts sur le crédit publique nécessaire pour ça alors ?
Non, c’est l’allocation du crédit qui détermine si il est inflationiste. Si il est productif pas d’inflation, si c’est pour des dépenses de fonctionnement à court terme, il y a inflation donc appauvrissement.
Il est donc stupide d’être contre le crédit publique sans intérêts de manière aussi dogmatique.
Tout dépend de l’allocation de ce crédit.
D’ailleurs le système actuelle qui ne fait pas de distinction entre les dépenses inflationnistes et les autres pour bien permettre de prélever sa dîme sur toute les dépenses même celle à encourager.
Et encore, le crédit publique n’est pas la seule source d’inflation non plus ! La réserve fractionnaire des banques c’est du poulet ?