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Commentaire de Lorelei

sur Sexualité : les doutes masculins


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Lorelei Lorelei 16 août 2011 01:44

ah ben ouii ça explique ses articles anti femmes, oups oups oups...nom d’un canard c’est grave, le type se met en colère et en est fier de perdre tout contrôle et il est buddhiste zen enfin il se déclare ainsi mais est incapable d’altérité entre nous ce type ne connait rien nada au buddhisme...et pas grand chose à l’histoire qu’il manipule comme d’autres l’ont remarqués avant moi pour faire rentrer ça dans une étrange doctrine où les femmes sont vu comme à l’origine de tous les maux de la terre et des violences dans le monde...en gros il effectue une inversion totale et vidal l’exprime mieux je vous laisse lire, ça colle à 100 pour cent

(Vidal, 2002). L’androcentrisme psychologique et affectif est « un refus d’empathie envers les femmes. Toute évocation de la violence faite aux femmes par les hommes - lorsque celle-ci n’est déjà pas évacuée de prime abord sous prétexte de ne pas se laisser déterminer par l’ordre du jour féministe - est détournée de multiples façons : soit elle sert à évoquer leurs propres souffrances (« mais moi aussi, je souffre »), soit elle est rejetée sur d’autres hommes ou un quelconque système les dépassant (masculinité hégémonique, patriarcat), soit elle est retournée contre les femmes (« mais elles doivent bien y trouver quelque chose, non »), soit elle est évacuée par une auto culpabilisation permettant de rester centré sur soi-même (« c’est affreux, je souffre d’être dominant »). » (Vidal, 2002). Quant à l’aspect politique de l’androcentrisme, Vidal explique que « l’évocation des rapports entre femmes et hommes amène ces hommes à parler de leurs vécus personnels en excluant progressivement le vécu des femmes concrètes dans leurs propres vies. Le féminisme fonctionne alors comme un outil thérapeutique destiné à améliorer la qualité de vie masculine : les hommes utilisent l’analyse féministe pour transformer leur vie dans le sens de plus de bien-être ; si cela ne marche pas, alors ils rejettent le féminisme. » (Vidal, 2002).

 on dirait une caricature un fake mais ça semble vrai que des gens comme ça existent..


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