@kiouty
Vous avez parfaitement raison, mis à part que les politiques sont de bons serviteurs de la Pompe à Phynances, certes, mais malgré tout totalement incompétents pour ce qui est de la gestion des affaires publiques.
Entre un Filllon et un Aristide Briand, un Hollande et un Jaurès, un
Cameron et un Churchill, une Merkel et un Adenauer, un Obama et un
Roosevelt (Franklin) il n’y a pas photo.
Mais ce n’est là que broutille, ces gens restent éminemment dangereux, c’est un fait et ne pas en tenir compte serait au sens propre suicidaire.
Car il est de fait que la prise en mains des affaires des peuples par les sommités de la finance est une réalité, méticuleusement organisée et savamment orchestrée depuis des décennies.
Ne nous avait-on pas mitonné un second tour surréaliste Strauss-Kahn vs Sarkozy ?
Avec ces deux-là, c’est le jeu des sept erreurs, on cherche encore les différences...
Quoiqu’il en soit, cette crise n’est pas fortuite : l’empressement de tous les chefs d’État occidentaux à sabrer dans les comptes publics pour « sauver les banques » pue la connivence à plein nez.
La crise ?
Dernière manœuvre en date dans la stratégie du choc élaborée par le capitalisme du désastre.
Le livre de Naomi Klein est de plus en plus d’actualité, hélas...
Troubles, coups-d’États et guerres sont remplacés par quelque chose de plus maniable car complètement artificiel et contrôlé, permettant de tranquillement planifier et maîtriser le calendrier des démantèlements sociaux, pays par pays.
Si je pouvais plusser encore et encore votre post, je le ferais volontiers.