@ Chapoutier ;
« »« »la technologie n’existait pas en 2001, en vol comme au sol dés que vous êtes à une certaine distance de l’antenne relais il n’y a plus de réseaux. encore aujourd’hui en voiture ou en ballade il arrive très souvent que l’on se retrouve hors réseaux., de plus en admettant la présence d’antennes à distances suffisante, la vitesse de l’avion ne permet pas la prise en charge par les différentes antennes.
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De quelle technologie parlez-vous ? De celle qui fait que de nos jour on a le droit de téléphoner en avion ?
Avoir le droit (grâce à des dispositions techniques nouvelles faisant de l’avion un relais même) c’est une chose que je comprends. Mais avant, je répète que rien sinon des aléas de rupture de réseau ou de trop grand éloignement, rien donc n’empêchait -sur le plan technique- de téléphoner depuis un avion.
C’est parce que c’était possible (avec des tas d’aléas tout de même) que c’était interdit (les avions n’étant pas équipés en conséquence et pouvant souffrir des perturbations)
En ville, les antennes sont puissantes mais comme les ondes ont à traverser les immeubles et galeries, il est considéré que leur portée n’est que de 500 m (quoique orientées horizontalement, ces antennes transmettent probablement jusqu’à 4 km vers le ciel libre)
En campagne, comme il y a moins d’immeubles à pénétrer, les portées sont de 10 à 20 km. Et ces antennes, quoique orientées vers l’horizon, offrent une portée de 30 à 50 km dans le ciel.
Il était donc techniquement possible de téléphoner depuis les avions et je vous ai montré un document qui confirme qu’il y avait constamment des gens qui transgressaient l’interdiction et téléphonaient quand même (Une transgression par vol, ce n’est pas rien)