Monsieur Jean-Marie Le PEN a effectivement fait 18% aux
présidentielle de 2002 mais je suis certain d’une chose c’est que
Mélenchon, Joly, Valls et consorts, tous ensembles, ne parviendront pas à
faire autant alors je me dit que Monsieur Jean-Marie Le PEN, malgré ses
18% a rendu un fier service aux Français en boutant hors de l’Élysée,
ces incapables de socialistes... !!!
Et puis Monsieur Jean-Marie Le PEN, c’est quand même un homme
politique qui restera dans l’histoire contrairement à bien d’autres, et
rappelez-vous quand même qu’il a débuté sous la IVème république et a
été le plus jeune député de France en 1957... !!!
Précision qui n’est pas inintéressante non plus c’est qu’à l’opposée de ses condamnations, il y a autant de victoires... !!!
Depuis 1982, Le Pen a obtenu vingt-trois fois gain de cause.
- 14 janvier 1982 : TF1 et FR3
- 21 décembre 1983 : Georges Marchais
- 31 octobre 1984 : Hervé Bourges, Siné et Cabu
- 22 novembre 1984 : Stéphane Collaro
- 23 octobre 1985 : Serge July
- 15 janvier 1986 : Roger Fressoz, directeur de publication du Le Canard enchaîné, est condamné76, devant la XIe chambre de la cour d’appel de Paris, à 8 000 francs de dommages-intérêts, 4 000 francs en vertu de l’article 475-1 du code de procédure pénale et à une insertion du jugement dans deux quotidiens dans la limite de 8 000 francs chacune, dans une affaire de diffamation sur la torture en Algérie, la cour estimant que le journal avait « manqué aux obligations de mesure et d’objectivité relatives à tout journaliste, même satirique » et que « le bénéfice de la bonne foi ne peut donc lui être reconnu ».
- 15 janvier 1986 : Serge July, directeur de publication de Libération, est condamné76, devant la XIe chambre de la cour d’appel de Paris, à 10 000 francs de dommages-intérêts, 4 000 francs en vertu de l’article 475-1 du code de procédure pénale et à une insertion du jugement dans deux quotidiens dans la limite de 8 000 francs chacune (ainsi qu’à la publication d’un extrait du jugement dans les colonnes de Libération,
avec annonce de la publication en première page), dans une affaire de
diffamation sur la torture en Algérie, la cour estimant que les
journalistes avaient « introduit dans leur texte un certain nombre de contradictions ou d’erreurs » et qu’ils avaient « trop
évidemment cantonné leurs recherches et auditions aux citoyens
algériens concernés et à leurs sympathisants, omettant d’entendre
Jean-Marie Le Pen lui-même et tout témoin possible, civils et
militaires, de l’autre “camp” », considérant que « le
journaliste qui enquête sur des événements déjà anciens mettant en
cause une personnalité actuelle et qui porte contre elle des accusations
d’une extrême gravité, ne saurait aucunement être exonéré de devoir
rechercher sérieusement la vérité et de transmettre à l’opinion une
information sincère et aussi impartiale que possible ».
- 15 janvier 1986 : Jean Bothorel, auteur de Livre ouvert aux douze soupirants à l’Élysée, et Francis Esménard, PDG des éditions Albin Michel, sont condamnés76, devant la XIe chambre de la cour d’appel de Paris, à 8 000 francs de dommages-intérêts, 4 000 francs en vertu de l’article 475-1 du code de procédure pénale et à une insertion du jugement dans deux quotidiens dans la limite de 8 000 francs
chacune, la cour estimant que le caractère pamphlétaire de l’ouvrage de
Jean Bothorel ne saurait faire accorder le bénéfice de la bonne foi,
puisque les condamnés ne justifient pas, toujours au sujet de supposées
tortures dont se serait rendu coupable Jean-Marie Le Pen en Algérie, « d’une vérification sérieuse des accusations graves de tortures et de violences » portées contre Jean-Marie Le Pen dans cet ouvrage.
- 15 janvier 1986 : Michel Polac (deux procès distincts à la même date)
- 16 décembre 1986 : Jean-François Kahn
- 23 mars 1988 : Le Canard enchaîné
est condamné à verser 100 000 francs de dommages-intérêts à Jean-Marie
Le Pen pour avoir publié en « une », le 17 juin 1987, une photographie
de Jean-Marie Le Pen à demi nu. Cette publication se voulait satirique,
Pierrette Le Pen, l’épouse divorcée de Jean-Marie Le Pen, ayant posé nue[réf. nécessaire] dans Playboy77. Le Canard enchaîné
affirma : « Il n’est pas dans nos habitudes d’intervenir dans les
scènes de ménage, mais celle-ci est d’essence politique et de notoriété
publique, nous ne pouvions garder par-devers nous un document comme
celui-ci, et nous avons décidé de verser cette pièce au débat. ».
Jean-Marie Le Pen avait demandé en vain la saisie du journal, puis porté
plainte pour « atteinte intolérable à sa vie privée ».