>>> Re-message « privé » <<<
1) Lorelei, aurais-tu l’amabilité de me tutoyer ?
(Après, si ça te gêne ou te chose, ne te force pas non plus ...
Mais chez moi c’est ... Comment dire ? Culturel.
Pour moi ça rape toujours quand on me vouvoie. Généralement, ceux qui me vouvoie veulent m’engueuler, me donner des ordres totalitaires ou me réclamer du fric. Et quand je vouvoie c’est pour marquer une distance : très rarement par déférence, par prudence sociale à l’occasion d’une brève rencontre, la plupart du temps c’est par un certain mépris « J’en ai pas envie mais vu que je suis obligé de te parler je le fais mais on se dit vous. On va pas déconner non plus ... » )
2) Sans arrière pensés ni autre forme d’intention, la bise fut-elle permise ?
>>> message publique <<<
M’oui ... Bon, ok Lorelei, j’avoue : je me laisse aller. Mais c’est aussi parce que j’exècre au plus haut point à me répéter et, en toute logique, à plus forte raison lorsque cela devient chronique.
Or, pour bien faire, je devrais passer mon temps à répéter ce que je développe ci-dessous.
Philosophie Yétite : « Lorsqu’on ne sait pas, on ferme sa gueule, ça évite de dire des conneries ».
Je sais : la formulation est grossière. C’est intentionnel, non par mépris mais juste pour mieux marquer les esprit (pour que cela serve plus et accessoirement que j’ai moins à me répéter !).
La traduction bisounours donne : « On ne juge pas un livre à sa couverture ».
reconnaissons toi et moi que la discussion est faussée. L’un comme l’autre nous avons une certaine connaissance CONCRÈTE de ce genre de problèmes, même si elle n’est pas forcement parfaite. Pour les gens qui ne l’ont pas, le seul regard possible sur la situation est alors très formel. ce qui compte tenu de la dimension profondément humaine du sujet en fait une vision également naïve.
- Je n’ai jamais fait de tôle mais j’ai, à plusieurs reprises, discuté avec des gens qui avait expérimenter ce sujet, que ce soit de l’intérieur comme de l’extérieur. Et autant j’écoutais attentivement leurs témoignages sans détours, autant je m’attachais à scruter les expressions de leur visage et de leur regard. Je ne sais pas ce qu’est la prison ! Mais j’en ai une bonne idée.
- J’ai connu, côtoyé et discuté (de vive voix ou par forum) avec des victimes de viols, de pédophilie et de brutalité « domestique ». Mes regards sur moi-même et sur les hommes violents ont radicalement changés ! Eux et moi sommes ... pareils ! Aussi bestiaux l’un que l’autre. seule nos valeur et nos démarches sont diametralement opposés. Je dois reconnaitre que si je leur foutrais volontiers et sans aucun remords mon poing dans la gueule, je ne pourrait néanmoins pas m’empêcher d’y trouver une jouissance similaire à la leur lorsqu’ils battaient ces « demoiselles ».
- Je connais bien le sens et la valeur de la mort (et par conséquence de la vie) pour l’avoir touchée du doigt dans ma famille, par le biais de proche.
- Plus généralement, les notions de vie, mort, souffrance, espoir et désespoir, etc. sont trés précises, paralantes et concrète pour moi, comme pour la plupart des gens qui comme moi ont été ambulancier. Car on voit les deux côté du miroir : la personne ainsi que son entourage. et ce sur la durée, avec les évolutions, les tenant et les aboutissants.
Alors, oui, comme tout le monde n’a pas forcément ce vécu là et le caractère qu’il faut pour y faire face, j’ai une certaine « tolérance » que je reconnais malgré tout laxiste, envers sont qui ne l’ont pas et parlent donc avec l’innocence de leur inexpérience.
Maintenant allez jeter un œil d’une part sur mon profil et d’autre part aux articles traitant de religion, de politique ou d’économie ... Vous constaterez vite une certaine cohérence !
Sur ces sujets là je n’intervient que peu et de façon légère (or glanderies rigolotes ! ) car je ne me vois pas analyser un sujet sur lequel je suis remarquablement ignare ou bien qui relève essentiellement de la considération personnelle.
Pour le reste, personne n’est obligé d’écouter les arguments du type « Je n’en sais rien mais je suis catégorique » ... Et il existe toujours « un autre point de vue » (enfin, c’est le mien ! ) ...
Enfin j’ai hésiter à moi-même prendre l’aussi facile que controversé exemple d’en sacrifier 10 pour en sauver 100. Mon point de vue est très primaire. Sacrifier 10 innocents pour en sauver 100 (présumés innocents) ? Oui. Sinon cela reviendrait à sacrifier 100 innocents pour en sauver 10. Politique du moindre mal. CQFD.
Après faut oser le faire est une autre histoire et c’est généralement là que le bât blesse. Mais comme je le dis toujours : le plus difficile n’est pas de savoir mais d’accepter. CQFD bis.
A la place je prend souvent l’exemple de l’animal blessé que l’on ne peut sauver. Que faire ? L’achever sauvagement ou détourner pudiquement la tête et ne pas l’embêter encore plus. Concrètement, je l’achève pudiquement et avec le plus de rapidité et de « tact » possible puis j’ai parait-il « mauvaise mine ». Je ne dis pas que c’est le meilleur choix, juste que c’est le mien, réfléchi et assumé.
27/08 15:47 - Kokonutz
Dans la Bible, Dieu condamne justement le fait de ’scandaliser’ les petits enfants (...)
20/08 19:12 - Lorelei
bah si dieu est pour vous aminsty international l’unicef why not autrement il suffit de (...)
20/08 19:06 - foufouille
c’est dieu la journee, dieu lui parle bizarre, elle a pas de pouvoir
20/08 18:54 - Lorelei
votre état en effet se vérifie dans vos propos...200 000 millions de gamins dans le monde sont (...)
20/08 18:52 - anty
200 000 millions de gamins cela fait 200 milliards de gamins or la population mondiale ne (...)
20/08 15:16 - Lorelei
votre article a été censuré par la modo pour votre tentative de faire de la pédophilie quelque (...)
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