L’immigration massive est l’outil des impérialistes qui veulent casser les Nations et leurs valeurs, leur unité, leur mémoire collective, etc...

Ils tentent de fracasser l’Irak, l’Afghanistan, la Lybie, le Vénézuela, la Syrie, l’Iran, le pakistan, etc... pour installer des « démocraties à l’occidentale » pour mieux piller les richesses sans rien laisser aux peuples (un peu ce qui se passe en Grèce ou en France en ce moment)

Provoquer des guerres civiles est un savoir-faire de la CIA et du Mossad « made in USrael ».

Pour une guerre civile, il faut 2 camps différents. S’ils sont d’ethnie ou de religion différentes c’est encore mieux pour les manipulateurs (comme ceux d’Oslo).

Je suis relativement d’accord avec vous ; SAUF qu’il n’y a pas « d’immigration massive » depuis longtemps ; l’immigration est contrôlée ; en France plus qu’ailleurs, puisque, sur les 10 dernières années, le taux d’immigration en France est largement inférieur à la moyenne européenne. 

Mais vous faites également une autre confusion : le fait de vouloir installer des démocraties dans des régimes totalement autocratiques, comme les « Républiques islamiques » , est , pour moi, une bonne chose A CONDITION que ce modèle ne soit pas imposé, mais issu des peuples eux-mêmes. Pour cela, encore faut-il en évacuer les tyrans et mouvements religieux qui se gavent au détriment de leurs peuples et de leurs droits, puis leur laisser le temps d’ériger leur propre système démocratique ; ce qui n’est, évidemment pas le cas en Irak, en Afghanistan, au Venezuela (une démocratie réelle). 

En revanche, pour ce qui est de la Syrie, du Pakistan ; les richesses sont pillées par les dirigeants eux-mêmes, et les peuples sous le joug de tyrans ; ce qui n’est pas mieux. 

Par ailleurs, ce n’est pas le système démocratique qui permet le pillage des richesses, et le « cassage » des nations ; c’est bel et bien, au contraire, la dictature des mafias financières, qui vide les démocraties de leur substance pour en faire des coquilles vides, où tout se privatise, et où s’imposent, au dessus des lois des états, les diktats de la finance et des « marchés » tout puissants.