Vous ne savez rien de mon métier et vous faites des affirmations bien perremptoires. En revanche je peux dire que vous, vous ne savez pas lire le français.
Où ai-je écrit que DSK était coupable ? Vous devez confondre le sens des mots. J’ai dit qu’il n’était pas blanchi, tout d’abord pour des raisons juridiques (l’abandon des preuves n’est pas blanchir DSK, j’ai même prouvé de façon exhaustive tout ce que ce texte disait de DS et nulle part son innocence n’est citée) parce que s’il avait été innocenté il ne pourrait ni à nouveau être poursuivi par un procureur (ce qui est toujours légalement possible) ni poursuivi en France (interdiction de double juridiction pour juger) or un procureur peut toujours décider de reprendre l’affaire et en France une plainte contre DSK peut être érudiée. De plus il ne peut être blanchi tout simplement car il est toujours accusé de viol (lisez le français j’écris accusé de viol et non coupable de vol peut-être ignorez-vous la différence entre coupable et accusé).
Vous faites comme Vance dans la généralité et non dansle ârticulier. Vous m’accusez de faire des affirmations péremptoires, vous êtes bien malin car je reprends mot pour mot ce qui est écrit dans le texte et de ces affirmations elles viennent de ce rapport et de nombreux autres personnes cités avec les liens.
Enfin puisque vous êtes d’une force extraordinaire vous allez pouvoir démontrer aux assemblées réunies que j’ai tort quand je dis que Vance ment quand il affirme que l’on ne peut déterminer ce qu’a fait Diallo entre 12 h 06 et 12 h 26. Prouvez-moi de façon certaine que l’argument que j’ai employé qui dit qu’avec un chronomètre suisse il est parfaitement possible de donner une fourchette en comptabilisant le temps (comme le font les experts Manhattan) qu’il faudrait pour s’habiller, prendre ses affaires rejoindre l’ascenseur, l’utiliser, en sortir et aller au desk. Et même en refaisant les gestes avec son chrono à la main. Prouvez-moi que cet argument est péremptoire et faux. Je vous souhaite bien du courage.
PS dans toute la longueur de ce texte à part une seule fois où je développe l’analyse comme quoi un faible peut taper un fort et j’ai parlé de la différence sociale entre DSK et la femme de chambre (sans jamais évoquer le fait qu’elle est noire) il n’a été question des sanglots longs de votre philosophe favori Brikner. Ceci prouve à l’évidence que vous n’avez absolument pas lu l’article mais utilisé des arguments tout faits à multi-usage. Ce n’est pas mon combat et ce ne sont pas mes propos et il suffit de lire tout ce que j’ai écrit sur cette affaire où ces fameux sanglots n’y ont jamais eu de place.