@ docdory
Vous reprenez "
l’intérêt général doit être trouvé par la somme des intérêts privés,
cette fameuse “main invisible, à travers des lois de marché qui
instaurent en théorie une concurrence libre et non faussée. «
L’erreur est de croire que le capitalisme est le produit d’une idéologie, comme l’est le marxisme.
En fait c’est le contraire. Le capitalisme est le produit des circonstances. Le théories sur le capitalisme ne sont que postérieures à sa construction et tentent de rationaliser ce qui relève d’une somme d’initiatives et de comportements individuels.
C’est cela que dit l’expression »somme des intérêts particuliers« et évidemment il en résulte que la »main invisible du marché« n’est rien d’autre que le constat qu’il existe par moment des convergences dans le comportement des acteurs individuels cars ils sont tous influencés par les mêmes informations ou scrutent les initiatives des »leaders« .
Un peu comme les poissons qui se déplacent en bancs et qui semblent alors ne faire qu’un seul organisme cohérent.
Mais ne nous trompons pas, la »main du marché" n’est qu’une illusion optique derriere laquelle se cache en réalité la main des ultra-riches et de leurs réseaux d’influence (bourses d’études Rodhes etc, fondations Carnegie, Rockefeller etc, think-tanks et lobbies du type Bilderberg, Round Table, Trilaterale...)
Mais si on parle de qui régule réellement le marché financier, il faut alors regarder ce que font les banques centrales et la banque des règlements internationaux qui sont les relais de l’élite bancaire et financière mondiale.